Orcival – Vendredi 10 aout à 19h

Seul en scène, «Orcival» vous embarque dans un voyage intemporel.
Avec ses guitares, il oscille entre blues et musique du monde, entre
chanson et mélodie instrumentale.
Son inspiration, il la puise dans les forêts, les montagnes et les
voyages. Le bois et les cordes issus de cette nature, côtoient des
rythmiques électroniques venant de la ville et du bitume.
Nature et culture urbaine se rejoignent pour former une musique
cosmopolite, actuelle et généreuse.



Slim Paul – Vendredi 10 août à 21h

Voilà quinze ans que Slim Paul a débuté sa route, la guitare en bandoulière.
Avec Scarecrow, le groupe Blues Hip-Hop, il se lance dans une aventure qui le conduit sur les plus grandes scènes de 15 pays, ainsi qu’en studio pour deux albums et de nombreux EPs. Fin 2016, il part seul à New-York pour se perdre et revenir aux origines de sa musique et de son écriture. Dès son retour, il enregistre « No yet Man », son premier EP purement blues, qui laisse bientôt plae à son premier album…

Reco Reco – Vendredi 10 août à 23h

Live band Tropical Bass, Reco Reco propose une musique à la fois futuriste et ancestrale, ou se rencontrent les rythmes traditionnels sud-américains et les infrabasses les plus profondes des dancefloors européens.

Les cinq membres de Reco Reco nourissent leur son de cumbia, de merengue, de 3ball mexicain ou encore de forro et baião du Brésil, chacun apportant sa pierre à l’édifice, et font fusionner ces musiques avec les sonorités actuelles de l’électro. Mais loin de donner une mixture vide de sens, il en ressort un son novateur et puissant, qu’ils défendent sur scène avec une énergie contagieuse!

Une recette infaillible et redoutable en live, pour faire bouger les corps, comme s’il s’agissait d’un rituel vaudou urbain dans une free-party pré-colombienne.

Nahawand – Samedi 11 août à 19h

Souffle d’Orient.
Des mélodies qui traversent les montagnes et les déserts, génération après génération, pour toucher le coeur et faire danser les âmes.
Le trio Nahawend dévoile la richesse d’une culture orientale aux mille et une musiques. Du Liban, d’Égypte, de Turquie, de Tunisie ou du Maroc, les plus beaux airs enchantent le
oud, font vibrer les percussions et raisonnent dans les voix chaleureuses. Un voyage intérieur guidée par le souffle chaud du soleil de Tabriz.

Aywa – Samedi 11 août à 21h

En revisitant les sonorités venues d’Afrique du nord (gnawa, raï…) mais également balkaniques et hindoustani, Aywa distille un mélange explosif qui invite au rassemblement et à la danse.
Entre leurs mains, les musiques du monde s’électrisent. Portées par une énergie rebelle, elles se mélangent au rock, au reggae, au dub… Et c’est à travers les débordements
d’une transe irrésistible que le quintet défend un message d’espoir et de contestation.

EZPZ – Samedi 11 août à 23h

Ces 4 francs-tireurs métissent le Hip-Hop et le Swing dans une ambiance jouissive et électrique ! En anglais dans le texte, leur rappeur survolté transcende son public tandis que les musiciens plantent un décor cinématographique entre saloon enfumé et cartoon déjanté.
Des duels clarinette / Scratches aus passes d’armes pompe swing / Breakbeat : ici la Nouvelle-Orléans et le pays de la Zubrowska rencontrent le Brooklyn des beatie Boys, « Finger in the noise ».

BIENVENUE À EZPZ TOWN !

Lolomis – Dimanche 12 août à 21h

Lolomis s’engage sur le sentier du bois maudit, celui que craignent les grand-mères qui en connaissent les séduisants dangers.

À la transe balkanique que l’on connaissait vient s’ajouter une poésie sonore singulière, plus sombre et plus subtile.
Douce et envoûtante, incisive aux accents rap, la voix caméléon répond aux lignes de basses percutantes d’une harpe tyrolienne, aux flûtes Renaissance saturées, et aux rythmiques hybrides et implacables de l’installation de percussions. Le quartet déjoue les codes de la pop avec une malice virtuose et des couleurs raffinées.

D’un chant de révolte russe à une incantation de magie noire, de la plainte d’un marin errant aux chants katajjaq des femmes Inuits, cet opus est un hommage aux sorcières modernes.

Bancal Cheri – Dimanche 12 août à 23h

Après le succès de « Comprend qui peut – Boby Lapointe repiqué » et ses nombreuses représentations, est née l’envie commune d’un après.

Quatre bandits musiciens, désarmants et désarmés, se rencontrent par quatre chemins croisés. Loin des lignes droites et des routes déjà tracées, ils allument de petits feux. De doutes assumés en envies partagées, ils s’accueillent aux abords de leurs secrets. Aujourd’hui, parce qu’ils savent qu’ils ne sont pas obligés d’écrire et de composer ensemble, ils décident de le faire. Pour changer les habitudes, pour le plaisir des étreintes déstabilisantes, pour le vertige adoré et pour le bancal chéri.